Collectif pour mieux vivre

Le collectif De Gaulle-Médéric rassemble les habitants de notre résidence. Né du constat qu'il ne faut pas attendre la fête des voisins pour échanger, ce blog est le relais de nos interrogations, de nos souhaits d'amélioration.

samedi 28 novembre 2015

Cadeau ! Un parking public !



Je m'souviens d'un coin de rue, aujourd'hui disparu, il y avait une usine de pétrochimie, un taillis, un arbre, Les gamins jouaient par là, je me souviens de cela, les ouvriers garaient leurs autos sur le parking à des emplacements déterminés; l'été, ils pique-niquaient devant l'usine.
Et puis un jour, ils ont dit qu'ils ne reviendraient pas lundi. Le site de l'usine avait été vendu.
Une grosse benne a été placée sur le parking et dedans ont transité les déchets, les invendus, les parpaings, les classeurs... 

Les promoteurs sont arrivés alors, ils étaient gais, pleins de panache : ils avaient gagné un super terrain, juteux à souhait. Le projet était malin, on tirait parti du site historique de l'usine, en gardant la façade industrielle et le corps du bâtiment fondateur. Et on construisait derrière, en place et lieu de l'espace ouvrier, des constructions basses, dotées de bouts de jardin sur lesquels pousseraient des noisetiers, des rosiers sauvages...


Les travaux ont commencé. Au 7bis, rue Médéric, on avait pignon sur les prouesses des bulldozers, on frappait des deux mains presque tant le travail était exécuté "à la pince à épiler".

Et puis un de nous, Patrick, de retour de vacances, a remarqué l'empiètement du chantier sur notre voie. Il a écrit aussitôt à notre maire, Philippe Juvin, afin de lui rappeler que l'allée était l'accès pompiers de notre résidence.


25 avril 2014 : les engins barricadés empiètent sur la voie accès pompiers

SUPER ! Les travaux ont été arrêtés immédiatement.



Aux futurs acquéreurs, on aurait déclaré que le projet n'était plus viable car le sol était imprégné des produits chimiques de l'usine. En un mot, on vivrait dans une zone dangereuse, où les noisetiers produiraient des brocolis fluorescents et où les rosiers sauvages fleureraient un parfum d'enfer.

Des substances chimiques sous terre, cause d'un abandon de travaux : crédible ?

Sécurité oblige : une palissade a été posée ensuite : Damned ! Elle mord sur les dimensions perpétuelles de l'allée Henriot, remarque notée par Michèle et Patrick.
Les mels à la mairie tombent dans des limbes opaques. On se sent vraiment seul, à la Garenne-Colombes, le magazine de la ville est souvent en décalage avec nos préoccupations. 

Mais quelle ironie !

L'allée Henriot, point de vue d'un corbeau, bien sûr

Vue de l'extérieur, l'allée Henriot est un eldorado pour qui cherche une place de parking. Quel potentiel !



Exemple banal, non réprimandé par la police


Sur le parking des anges, plus rien ne les dérange, dans la lumière étrange, c'est là qu'on s'arrange, pour les trafics et les vidanges...

Zut, on voit pas la plaque


Et les pompiers, s'ils devaient venir, apprécieraient-ils que leur angle de braquage soit complexifié ?

Les blocs, les barrières ? Rien à cirer !

Les 4x4 s'y mettent


Il est vrai que certains bichonnent plus leur voiture plus que leur compagne...

Cette friche industrielle de la rue Médéric est idéale pour garer son bijou.


Et voilà le résultat !
Encore un, ben voyons !

La panoplie déployée pour décourager l'automobiliste squatteur : des mois de lutte pour ça...


Et les actes d"indiscipline même le jour perdurent, paroles entendues : "En quoi ça vous gêne ? "  "Vous êtes marrants, vous, c'est trop tentant !" "Y'a personne, on peut bien s'arrêter" "Moi, je ne suis pas arrêté, je ne suis pas descendu de mon Espace"...


Quelle place pour les piétons, si une voiture pénètre dans l'allée ?

Regardez bien l'allée : ses dimensions perpétuelles sont ici réduites par :
1 les plots gris
2 la palissade
3 l'espace vacant entre la palissade et le trou des travaux, de l'autre côté



L'allée Henriot, re-point de vue d'un corbeau, bien sûr

Quelle perte de temps pour les services de secours de devoir débarrasser la voie de tous ces éléments nuisibles ! Quel danger pour les habitants !

Et sans imaginer le pire, la poussette de Léa, elle passe où ?


Alors, les zélés élus, qu'ont-ils fait pour notre sécurité ?
L'adjointe au maire, Madame Caullery, en charge de cette question essentielle, s'est engagée avant les élections départementales à régler la question. A ce jour, aucun arrêté municipal n'a été pérenne.

Elle vit comment les choses, cette dame ?



"Vraiment ?"

Et les autres décideurs, zélés et décidés ? Ça les chatouille ou ça les gratouille, ce gros souci ? Mystère. 
On les embête, en les enquiquine, on les ennuie ? 
Attendront-ils qu'un accident survienne ? 
Pas un alors ne se souviendra de nos alertes. 
Et le pire, c'est qu'ils seront capables de prendre un air malheureux et de tenir le bras des endeuillés...
S'approprient-ils ces mots du Général de Gaulle ?


"Au sommet des affaires, on ne sauvegarde son temps 
et sa personne qu'en se tenant méthodiquement 
assez haut et assez loin".



Allez, on va pas se quitter comme ça... presque fâchés, n'est-ce pas Georgius ?











jeudi 26 novembre 2015

Les placards de l'incontinence

On a dit du bon gros chat Nénesse qu'il marquait son territoire, lorsqu'il urina contre la commode en loupe d'ormeau de Mémé Marcelle.

Mais que dit-on d'un(e) inconnu(e) qui fait de même depuis des mois ? 

On dit aussi dans la résidence qu'aujourd'hui, Michèle a dû se résoudre à dire définitivement adieu à sa petite compagne féline, qui était trop malade.
Michèle, c'est la voisine qui depuis le mois d'avril retrouve sa voiture souillée d'urine au petit matin.

"T'inquiète ! d'où je suis maintenant, je saurai très vite qui te fait ça  !"




Mais qui urine ainsi en toute impunité ?


Une femme ? Un homme ? Un gros chien ?

Quel est le gros dégoûtant, la sale cochonne qui se permet de salir un parking, une voiture depuis des mois ?

Est-ce quelqu'un d'étrange, qui est content de le faire ?




Est-ce quelqu'un qui rejoue une scène culte de film ?


Est-ce un VRP qui teste tous ses produits ?






On n'en sait rien. 
Mais on en a tellement assez que ce soir, on a placardé des affiches en espérant que cela générera une prise de conscience, un déclic salvateur.





La prochaine étape, en attendant une action de HDS Habitat, ce seront des rondes, ou bien le campement de carrées dans le garage, pour pincer l'incontinent(e).







Rappel des actions passées de pipi de minuit
Jeudi 2 au vendredi 3 avril
Vendredi 15 au samedi 16 mai
Mardi 8 au mercredi 9 septembre 
Jeudi 10 au vendredi 11 septembre (voiture de Patrick)
Vendredi 11 au samedi 12 septembre (pas de voiture sur l’emplacement)
Mardi 15 au mercredi 16 septembre
Vendredi 6 au samedi 7 novembre
Samedi 14 au dimanche 15 novembre
Jeudi 19 au vendredi 20 novembre
Vendredi 20 au samedi 21 novembre 
Dimanche 22 à lundi 23 novembre


mardi 24 novembre 2015

La patinoire ouverte non stop !

Monsieur le maire a annoncé l'ouverture imminente de la patinoire, près de l'Eglise de la Garenne-Colombes. Il feint d'ignorer que nous avons ici, à la résidence de Gaulle-Médéric une patinoire privative sur laquelle nous avons fait, nous faisons ou nous ferons chacun des saltos et des loopings inévitablement.

Car...


Il y a quelques mois, le parking a été repeint du sol au plafond, et l'effet esthétique est plutôt réussi.

Attention, peinture fraîche !


Entièrement d'accord avec vous, Bobby Lapointe. Mais depuis ce temps-là, les locataires ont eu des émotions, le sol devenant particulièrement glissant dès qu'une mince couche d'eau vient le napper.

Patatras !


Ainsi, telle est tombée sur les fesses, tel autre a été déséquilibré de sa moto, tel est tombé sur le flanc, telle autre a fait le grand écart des danseuses de french-cancan, une jambe repliée sous le postérieur, l'autre à 90°. Ouille, aïe, grrr !


Fake de photo de groupe de la résidence de Gaulle - Médéric 


Christine, elle, n'a pas rigolé... Le 12 décembre 2014, elle a chuté dans la descente du garage, alors qu'elle descendait au pas sur son scooter.

Point de chute idéal : sol mouillé + peinture + flèches plastifiées
 L'engin s'est rabattu sur son corps meurtri : et une rotule de fichue, et des frais de garagiste qui empoisonnent son existence depuis... vu que l'assurance ne veut rien rembourser au titre que la peinture est par-fai-te-ment normale.
Normale ? "Et mes fesses" ? "Et mon flanc" ? "Et mon dos" ? "Et mon ischion" ?...

Pauvre Christine !


M. Hamadi, lors de sa visite en juin dernier, a inspecté le sol. Hum, Hum ! 

Voyons voir...



Sûrs de nous, nous avons répandu une bonne flaque d'eau sur le revêtement et des tests ont été pratiqués par notre directeur de proximité. Il s'est efforcé de glisser...


... peine perdue. Ça ne voulait pas ! Nous trépignions de rage devant cet échec. 


Fort heureusement, le groupe de BTP SMA rationalise et évoque sur son site Internet la glissance excessive de certains sols peints, sur la base d'un exemple concret, ce qui nous rassérène quelque peu :




Nature de la construction : Parking de centre commercial partiellement ouvert sur l'extérieur

Le désordre

Pour améliorer l'esthétique du paking semi enterré d'un centre commercial, le sol a été recouvert d'une peinture de sol. Par temps de pluie, les gens glissent.

Le diagnostic

Bien que la peinture choisie ait été prévue pour un usage en parking, les quantités d'eau amenées par les parties ouvertes de la construction et par les voitures elles-mêmes génèrent des flaques au sol. La glissance ne se produit que lorsque l'on a juste un mince film d'eau. L'état de surface du sol et le produit lui-même n'étaient pas adaptés à la configuration des lieux

Ce qu'il aurait fallu faire

Une rugosité plus forte aurait du être obtenue soit par le support au départ, soit par la peinture elle-même pour réduire le phénomène de glissance sur sol mouillé.

Source : http://www.groupe-sma.fr/SGM/jcms/jirect_20937/fr/glissance-excessive-d-une-peinture-de-sol-en-parking


Question : pourrait-on éroder par anticipation les zones les plus inévitablement dangereuses ?

Aujourd'hui, presque un an après son accident, Christine n'est pas complètement guérie. Garer le scooter dans le garage n'est plus envisageable. Cela s'appelle un traumatisme.


Si l'on pense à la vitesse folle à laquelle certains jeunes s'engouffrent ou s'échappent du garage (par la porte d'entrée s'il vous plaît), on ne peut que craindre de la casse d'ici quelques semaines.












dimanche 22 novembre 2015

Et si le brise-vue n'était pas assez occultant ?

Plusieurs d'entre nous ont été déçus par l'installation du brise-vue sur le portail du 28, avenue du Général de Gaulle. Jugé inefficace, voire inutile, il a tout de même la vertu de garantir plus d'intimité au jardin, notamment quand les plus jeunes s'y amusent.
En plein jour, les vélos sont discernables depuis l'avenue, si on a le nez collé au moucharabieh.

Une solution existe, elle est d'une simplicité enfantine : il suffit d'aligner trois caisses de jeunes arbres et une barrière végétale finira de protéger les vélos du regard des passants mal intentionnés.

Côté parc Wangen, les vélos restent très visibles... et là, il en faudrait une belle haie pour les protéger.



vendredi 20 novembre 2015

Livides et liquides : ça déborde !

Y'a des matins où on devrait se recoucher et attendre que la pluie cesse de dégouliner en se régalant de tartines nappées de confiture d'abricot. Au lieu de ça, on s'aventure... et ça donne ça :

Au 7, rue Médéric, la "pataugeoire"située juste sur le pas de porte finit de réveiller qui l'avait oubliée.


6h50, au 7, rue Médéric

Splash ! Qui a pensé à chausser avant de partir ses bottes de pêche si sexy ? Pas nous...



Vous trouvez le propos outrancier ? Attendez de connaître la suite...

A la même heure, du côté du 28, avenue du Général de Gaulle, il y a Claire, une jeune fille, qui vient de se réveiller. Elle s'étire lentement, la pluie tape au carreau, il faut bien bouger, allez hop, elle se lève pour aller prendre sa douche. Et là, stupeur, elle a les pieds dans l'eau ! 



Difficile de garder toute sa bonne humeur, même en écoutant le swing de Trenet, qui plus est quand on est allergique aux acariens et que cela fait des semaines que des problèmes d'étanchéité ont été signalés dans cet appartement. Une société spécialisée dans les fenêtres s'est reconnue incompétente pour ce dysfonctionnement et rien ne bouge depuis.


Vers 8h10, dans le sous-sol, y aurait-il une fuite d'eau près de la petite Clio blanche de Michèle ? Pas du tout : quelqu'un a encore uriné dans ce coin du parking... Incroyable et dégoûtant.

Mais qui peut bien faire pareille chose ici ?

Comme évoqué récemment dans Le mystère du pipi de minuit, ici, Patrick avait placé sa voiture à la place maudite, pour voir si elle serait aussi souillée. Réponse affirmative.

Ici déjà, un ECBU pouvait être pratiqué...
Michèle a pris soin de consigner, aussi pénible que ce puisse l'être pour elle, toutes les nuits qui ont été marquées par cette indélicatesse :


Jeudi 2 au vendredi 3 avril
Vendredi 15 au samedi 16 mai
Mardi 8 au mercredi 9 septembre 
Jeudi 10 au vendredi 11 septembre (voiture de Patrick)
Vendredi 11 au samedi 12 septembre (pas de voiture sur l’emplacement)
Mardi 15 au mercredi 16 septembre
Vendredi 6 au samedi 7 novembre
Samedi 14 au dimanche 15 novembre
Jeudi 19 au vendredi 20 novembre
et du 20 au 21 novembre (ajout post-daté)
Soit jamais d'urines les lundi, mardi et jeudi matins.
Rien entre la mi-mai et la mi-septembre, rien en octobre.
Nous voilà avancés !

HDS Habitat pourrait-il placer un urinoir dans ce recoin, visiblement idéal pour se soulager ? Ou serait-il temps de tenir sa promesse faite le 23 septembre de placer un petit système de vidéosurveillance léger pour tenir l'indélicat (e) ?

Modèle vintage


Il est temps de traverser le jardin et de faire des flics et des flocs dans la pelouse en plastique gorgée de pluie. On aimerait presque y voir pousser des champignons synthétiques...




La journée s'écoule, les mels chargés de révolte ou de scepticisme pleuvent...

Jour de pluie typique

Avenue du Général de Gaulle, le père de Claire constate l'insalubrité de la chambre inondée. Il ne sait plus quoi faire : "J'ai appelé deux fois, relancé par mails jusqu'à la direction. On m'a dit que la question était prise en compte et, même, qu'une société allait m'appeler très rapidement. Il est 16h15 et toujours rien. C'est purement inadmissible".

Encore une fois, Michèle a rincé sa voiture et le mur de l'immeuble à grande eau, excédée.

D'autres attendent des nouvelles de l'électricien que la gardienne a dû contacter mercredi après-midi pour un banal changement de prise, la réparation de la porte d'entrée du 7 rue Médéric, cassée depuis août. Il va geler ce week-end dit-on...

...Et vous, attendez-vous quelque chose ?













jeudi 19 novembre 2015

Oh le beau moucharabieh !

Le portail du 28, avenue du Général de Gaulle est ce soir pourvu d'un brise-vue répondant à nos vœux de voir occulté le jardin et surtout ses garages à vélos, qui avaient subi des vols en séries.


Voici donc les images prises le soir de cette protection promise par HDS Habitat :

Gros plan du brise-vue : mais où sont les vélos ?


C'est-y pas top ?
Presque, presque !

  1. Ne reste qu'à moduler la fermeture du battant, abrupte pour le moment.

mardi 17 novembre 2015

Un brise-bise pour nos vélos

Nous étions unanimes : l'édification d'un double garage à vélos externe était une idée sympathique... jusqu'à ce que nous ayons été victimes de vols en série.

Durant l'été 2014, les voleurs de bicyclettes s'en sont donnés à cœur joie, dérobant vaillamment les vélos des enfants, des adultes, surtout les moins rouillés, les plus flambant neufs. Surpris dans leur trafic, deux malhonnêtes ont filé avec leur butin, mais en oubliant leurs tenailles, énormes (du genre "pinces d'arracheur de dents",  comme on n'en voit jamais que dans nos pires cauchemars).

Dans le courant de l'hiver 2015, un vélo a été déglingué, faute d'avoir pu être emporté. La propriétaire a sonné à toutes les portes pour éveiller une prise de conscience de la part de la police de la Garenne-Colombes, de sa mairie et bien sûr d'HDS Habitat.

Au moins de 15 vélos avaient disparu en moins de 6 mois !

Au printemps 2015, deux voleurs ont pris le plus naturellement du monde, et devant témoin alarmé et impuissant, un vélo en très bon état, et ce, en plein jour.

La visite de M. Hamadi, le 26 juin 2015, a permis de faire le point sur ces deux garages à vélos, éclairés de nuit et fatalement visibles et accessibles depuis l'avenue du Général de Gaulle (qui plus est quand le portail bâille, autre sujet à développer ultérieurement).
Notre directeur de proximité projeta le placement d'un moyen occultant la vue de cet espace de vie :

"L'Association (nous) souhaite la pose d'un "brise-vue"entre la grille et la zone "vélos" pour lutter contre les vols et dégradations.
Ce dispositif peut être envisagé même si ses effets ne garantissent en rien la sécurité".
(extrait du compte-rendu du 26 juin 2015)

Méga-surprise ce soir !


Nous pouvons voir une grille placée à mi-hauteur, sur une des portes d'accès de ladite avenue.

Vue de l'extérieur

Vue de l'intérieur















Alors, alors... vous en pensez quoi ?  

Il nous semble que ce brise-bise n'occulte, en l'état, pas du tout l'espace du garage à vélos.
Cette protection cache tout juste les poubelles. 
Mais après tout, ce sont peut-être elles les plus guignées par les temps qui courent, tristement...

Allons, allons... vous voyez toujours le verre à moitié vide !

Notre impatience mêlée de scepticisme est sans doute coupable ici d'un jugement hâtif : peut-on avoir l'assurance qu'au moins trois panneaux de taille similaire seront fixés d'ici peu sur la grille ?

Car alors, le brise-bise deviendra brise-vue, et entre nous... 

ce sera top !





lundi 16 novembre 2015

Le mystère du pipi de minuit

Voilà des mois que cela dure, voilà des mois que l'on se pose des questions.


Certaines nuits, quelqu'un vient se soulager contre le même mur du parking, éclaboussant toujours la voiture qui occupe la place servant de pissotière.





Nous avons compris que cet acte ne visait pas le propriétaire de la voiture, en échangeant deux places de parking. Ce n'est donc pas a priori un acte de malveillance.


C'est tout bonnement de l'incivilité.


M. Douzi, notre homme de service, nous a appris que plusieurs places de parking servaient de toilettes de fortune. Des excréments sont ramassés.


M. Hamadi, notre directeur de proximité, après avoir éliminé toutes les probabilités (même celle d'un gros chien) s'est engagé l'été dernier, à placer un système de vidéosurveillance léger et transitoire.


Mais nous voilà déjà au cœur de l'automne... Alors quoi ?