Collectif pour mieux vivre

Le collectif De Gaulle-Médéric rassemble les habitants de notre résidence. Né du constat qu'il ne faut pas attendre la fête des voisins pour échanger, ce blog est le relais de nos interrogations, de nos souhaits d'amélioration.

dimanche 31 janvier 2016

Zoom sur les charges locatives 2014 : y a comme un os !

Chers voisins, chères sentinelles du Collectif de Gaulle-Médéric, voici un aperçu du contrôle des charges locatives de l'année 2014 opéré par le juriste de la CLCV et l'une de nos membres, en ouvrant les livres de compte de HDS Habitat.
Nous sommes à votre écoute pour tout détail.



Collectif de Gaulle – Médéric
__________

Contrôle des charges locatives de l’année 2014 : anomalies et manquements constatés

EAU

Un relevé annuel minimum s’impose pour chaque compteur.
(Les dépenses récupérables sont en grande partie calculées sur la base d’estimations et non de factures réelles)

Le compteur 2945 ne sert pratiquement à rien, sauf à payer un abonnement et des taxes.

ECLAIRAGE

Le montant apparaissant sur la deuxième ligne de ce poste de notre relevé individuel se rapporte vraisemblablement à l’escalier, mais au prix d’un savant calcul.

Sept compteurs au total.
Les compteurs 848 et 708 nous ont été présentés comme se rapportant aux ascenseurs, mais on constate que la puissance (donc le coût de l’abonnement) n’a pas été judicieusement choisie.
Comme pour l’eau, un tour du propriétaire s’impose.
Quant au compteur 348 : peu d’énergie pour une puissance démesurée comparée à celle des autres compteurs.

ENTRETIEN GENERAL

VMC : S’agit-il bien de prestations du type P2 uniquement, c’est-à-dire d’un entretien incombant aux locataires ? À préciser.

NETTOYAGE DES PARTIES COMMUNES

Les factures de la Société EIFFAGE font apparaître :
  • Un lot de 12 factures mensuelles
  • Une facture pour le nettoyage annuel, mais on ne sait de quoi 
Ces factures concernent l’ensemble du patrimoine pour lesquelles il semblerait que la contribution du site soit de 8 %, mais cela n’est pas reflété dans le décompte des charges.

Il eût été plus équitable de prendre en compte les surfaces alors que le bailleur a retenu le nombre de logements : en attente d’explications précises.

La Société EIFFAGE facture également 4 demi-journées de remplacement de M. Douzi au taux horaire se situant aux alentours de 30,20 € alors, qu’en 2014, le prix pour Paris est de 25 € TTC l’heure.

Il a été relevé aussi que les appels d’offres ne sont pas une pratique courant chez HDS Habitat.

ASSAINISSEMENT/HYGIENE

Ce poste (en augmentation de 319 % par rapport à l’année 2013) comprend, entre autres, une quote-part non connue des factures de la société ORIAD.

Cette augmentation s’explique notamment par le fait que les frais de dégorgement n’étant plus récupérables, les bailleurs font procéder à des curages et détartrages dits « préventifs » qu’ils imputent systématiquement aux locataires.

Le nombre d’interventions en 2014 (au nombre de 6) fait supposer une obsession du principe de précaution qui ne se retrouve pas dans d’autres aspects de la gestion du site ?

ESPACES VERTS
En attente des justificatifs non fournis.

FOURNITURES
En attente des copies de factures.

FRAIS DE PERSONNEL

Aucun justificatif ne nous a été fourni.
Vu l’importance du montant de ces frais, nous sommes en attente du détail des salaires (un arrêt de la Cour d’Appel de Bourges du 3 juin 2010 a précisé les documents devant être remis aux locataires : DADSU et contrats de travail).

Devront également nous être précisées les dates de prise de fonction de Mme Lourenço et de M. Douzi.

DIGICODE – INTERPHONE

Facturation peu claire et qui paraît excessive.
Mais ce poste comprend peut-être une partie des travaux d’électricité  plus ou moins « menus » facturés par la Société EIFFAGE.
Les facturations de cette Société font apparaître la fourniture d’un nombre d’ampoules à incandescence qui surprend (comme le fait d’ailleurs que le parking soit éclairé en continu, mais pas par des LED).
Le ferme-porte hydraulique et le bloc autonome facturés par ladite Société ne sont pas récupérables auprès des locataires.

TEOM (taxe d’enlèvement des ordures ménagères)

En attente de l’avis d’imposition qui ne nous a pas été fourni.

ASCENSEUR

Il s’agit du seul entretien, car l’énergie est paraît-il comptée avec l’éclairage.

Chaque locataire paierait 73 % du contrat d’entretien de l’ascenseur de son escalier, et une partie de l’ascenseur commun (sur quelles bases pour ce dernier ?)

Les frais de télé-alarme et de télésurveillance ne semblent pas avoir été récupérés, ce qui signifie l’alignement sur la solution donnée par la cour de cassation les 24 mars 2004 et 30 juin 2010, et récemment par Paris Habitat (après le début d’une procédure)

Les justificatifs examinés ne reflètent pourtant pas cette description

PARKING

Le coût de l’entretien des deux portes basculantes (740,80 €) n’est pas abusif.

Par contre, s’agissant de l’électricité, rien ne permet de justifier les montants de 470,83 et 1 984,73 €

L’avis d’imposition de la TEOM était absent.

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Pour celles et ceux intéressés, nous tenons à leur disposition le compte rendu complet de cette réunion du 25 janvier 2014.

Nous le réclamer :

  • Soit par mail au collectifdegaullemederic@yahoo.fr
  • Soit en déposant votre demande dans la boîte aux lettres du Collectif De Gaulle Médéric disponible au 7, rue Médéric 
  • A noter que M. Hamadi s'est engagé à fournir au collectif boîte postale et tableaux d'affichage, sous quinzaine.

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vendredi 29 janvier 2016

What else ?

Dans la rubrique "Paroles de voisins", cette anecdote étonnante :

Au 28, un nouveau voisin aime boire son café et griller sa cigarette à l'air libre, devant l'entrée du bâtiment.
Le hall sent le tabac, ce qui peut déplaire... et c'est également interdit.

Récemment, ce voisin s'est rejoué la dolce vita en savourant sa clope et son caoua carrément assis sur un scooter qui ne lui appartient pas, dans le garage !

Le propriétaire, suffoqué devant tant d'audace, a manqué avaler son casque quand la gardienne a refusé de rappeler à l'ordre le voisin culotté au motif qu'elle n'avait pas à se mêler de conflits de voisinage...




jeudi 28 janvier 2016

Chantier de dépollution : enfin un geste de la mairie !

Chers voisins,


vous trouverez ci-dessous un courriel reçu ce matin de Valérie Rigaud, responsable des relations publiques de notre ville. Nous vous informerons bien évidemment des suites de ce réveil tardif.
 






Madame, Monsieur,

 

Philippe JUVIN a bien reçu votre courriel par lequel vous lui faites part de vos interrogations concernant le chantier de Carré d’Arch, au 9-11, rue Médéric à La Garenne-Colombes.

 

Pleinement conscient de l’importance de vos propos et soucieux de vous répondre au mieux, Monsieur le Maire m’a chargée de vous contacter.

 

Aussi, sachez que nos services ont saisi la Préfecture sur le sujet et qu’ils ont, dans le même temps, sollicité le promoteur qui doit nous remettre un rapport précis de la situation la semaine prochaine.

 

Nous ne manquerons pas de vous tenir informés dès lors que ces éléments de réponses nous auront été transmis.

 

Nous restons naturellement à votre disposition.

 

Bien à vous,

 

 

Valérie Rigaud

Responsable des Relations publiques et de la Vie locale

Hôtel de Ville



68, boulevard de la République

92250 - La Garenne-Colombes

mardi 26 janvier 2016

Venez, la porte est toujours ouverte !

Voulez-vous visiter une résidence témoin de HDS Habitat ?

Fastoche ! Rendez-vous au, 7, chez nous.
Si vous êtes perspicace et un peu joueur, amateur de combinaisons, rien qu'en regardant les touches usées du digicode,  vous pourrez pianoter et trouver rapido le code. Un jeu d'enfant !

Vous pourrez aussi être déçu, car la porte est souvent laissée ouverte par les passants qui ne songent pas à refermer la porte derrière eux.

"Après moi, le déluge !"


Pas grave ! Claquez la porte juste pour le plaisir de trouver par vous-même le code. Marrant, hein ?




Passé cette étape, vous pourrez passer la seconde porte, censée s'ouvrir avec une clé très confidentielle.
Sauf que la porte est cassée depuis août 2015... 

(Qui qu'a fait ça ? Mystère et boule de gomme)



On entre ici comme dans un moulin, c'est hyper cool  !

Les habitants, ces fâcheux, se plaignent des courants d'air froid qui pénètrent jusqu'au cœur de leurs chaussons molletonnés.



Une locataire pleure même son paillasson, transformé en tapis volant. Disparu !

Quelle matérialiste, celle-là :-)

Côté réparation, ça traînaille, et que de malheurs !
On s'inquiète, on pose des questions aux services techniques de HDS Habitat, et ça tourne au roman feuilleton, non pas au roman feuilleton, on se croirait plutôt dans Les Bijoux de la Castafiore, une aventure de Tintin et Milou.
Rappelez-vous de Monsieur Boullu, Isidore Boullu, le marbrier, "quelqu’un sur lequel on ne peut pas compter… Sous des dehors débonnaires d’homme banal et ordinaire, Isidore Boullu a pris le pli de prendre la vie du bon côté et de ne jamais s’énerver. Il promet toujours et ne tient presque jamais promesse. Par contre, il peut participer, en pleine journée, à une aubade donnée par la modeste harmonie de Moulinsart, histoire de boire un petit coup à l’oeil. Les clients ? Les urgences ? Il a bien le temps"(Source Tintin.com). 

copyright Moulinsart.

Pour le 7, ça donne à peu près ça :
"La porte est commandée"
"La porte est prête, Eiffage va la poser la semaine prochaine". ouf enfin, mais fichtre...
"Les mesures de la nouvelle porte sont mauvaises", ben c'est pas de chance, et voilà que
"L'artisan serait dernièrement hospitalisé".
Bref, ça sent le roussi à plein nez !
On n'ose plus ennuyer le technicien très gentil, un peu gênés pour lui.

Sans enfoncer de portes ouvertes, mais vraiment, quelle misère de lancer une réparation ici-bas.

Tiens, une petite émission à écouter, en guise de conclusion, consacrée à nous indirectement, enfin, au logement social, diffusée sur  cliquez ici oui  ici France Inter il y a quelques jours : riche d'enseignement.


NB Sinon, la matière grise de notre collectif, aidée d'un juriste de la CLCV, passe en revue les postes de dépenses de notre petit paradis social. 
Nous en reparlerons bientôt, promis !









mardi 19 janvier 2016

Le temps est relatif, le temps est absolu... et mes sous, on me les rend quand ?

Zoom aujourd'hui sur Audrey P., une gentille locataire, qui a quitté le 7 bis, rue Médéric depuis quelques mois, pour s'installer en province.


Nouvelle ville, nouvelle vie !

Le 14 octobre 2015, les cartons sont faits, prêts à partir, les clefs peuvent être rendues.


Le 13 novembre, l'état des lieux mentionne qu'aucune dégradation du logement n'est imputable au locataire sortant.
Audrey appelle quelques jours plus tard la Direction de proximité afin de savoir où en est le remboursement du dépôt de garantie.
Réponse : tout a été transmis à la Trésorerie de Levallois-Perret, chargée du remboursement. Question candide : est-il prudent de placer une trésorerie dans pareille ville ?

Patrick Balkany, maire de Levallois-Perret
La Trésorerie, contactée, assure ne rien avoir reçu de Nanterre. Serait-ce vous, Patou ?

Audrey, qui a de la suite dans les idées, appelle la Trésorerie deux à trois fois par semaine ensuite.
Ouf ! Le dossier a bien été envoyé par Nanterre, il est arrivé, oui, oui, mais vous voyez, maintenant les fêtes approchent alors on ne bouge rien, vous comprenez, attendons plutôt la naissance du petit Jésus, puis la trêve des confiseurs viendra, on aura tous le foie engorgé, il est plus raisonnable d'attendre le début de l'année 2016 pour régler notre petite affaire.

On sait jamais, si ça se perdait, un pareil dépôt de garantie. Il est où le dépôt d'Audrey P. ? Dans la boîte de Quality Street, réservoir à trombones  et à élastiques trônant sur le bureau d'une secrétaire ? Sous la barbe postiche du Père Noël de l'arbre de Noël ? Il est où le fric ?



Audrey apprend au passage que la personne chargée de faire le virement est en ce moment en arrêt-maladie.

Allons bon... quelle déveine !


Le 4 janvier 2016, la jeune femme rappelle la Trésorerie, qui recommande, pour accélérer le processus de lui envoyer un RIB, ce qui est fait aussitôt en RAR.
Pour passer le temps, Audrey regarde le soir une bonne série télé où il est question de pouvoir et de travers de porc, les fameux ribs sauce BBQ de Freddy.


Le 11 janvier, Audrey rappelle : le dossier est en cours, mais les règlements ne se font qu'une fois par mois. Par ailleurs, la Trésorerie envoie un document à retourner signé, qui déclenchera, c'est assuré, la procédure de virement.

Le 19 janvier, quelle bonne nouvelle ! Le dossier est bien en cours de règlement, mais la personne malade n'étant pas remplacée, les virements seront effectués avec retard.


En trois mois, Audrey P. a téléphoné bien vingt fois à HDS Habitat, on l'a baladée avec talent, non mieux que ça, avec professionnalisme. De ce côté-là, la fine équipe est ultra performante.

Rappel de la loi :

« La restitution du dépôt de garantie doit intervenir dans un délai d’un mois à compter de la remise des clés ».

Selon le camp où l'on se trouve, comme le dernier toffee d'une boîte de Quality Street : le temps est dur comme un caillou ou extensible à l'envi, s'effilochant sans fin.

Merci à HDS Habitat de régulariser fissa le dossier AUDREY P.



NB Article associé : Réunion semestrielle  ou les rêves d'un enfant de HDS Habitat.





















jeudi 14 janvier 2016

La pelle du 18 janvier : objectif terre saine !

La nouvelle est tombée : les travaux de remédiation du site Chimicolor au 9-11, rue Médéric reprennent lundi 18 janvier 2016.

Pour rappel, le sol a été pollué durant des décennies, du fait de l'activité de l'usine, spécialisée dans la production de revêtements plastiques et de décalcomanies rigolos.



Afin de viabiliser le site, il est nécessaire d'assainir le sous-sol, les agents dangereux ayant sans doute pénétré jusqu'à la nappe phréatique.





SITA Remédiation interviendrait pour six mois minimum, et procéderait au venting des terres contaminées.
Le bac à sable empoisonné

Le sol sablonneux retiendrait les solvants et autres cochonneries
  
Et voilà le travail....


Concrètement, pour vous, voisins, les abords de l'entrée du garage, 7 et 7 bis rue Médéric, seront encombrés lors de l'installation des machines de SITA. 


Suite à notre lettre ouverte du 17 décembre 2015, nous avons réécrit ce jour à notre maire, le Docteur Juvin, afin qu'il nous informe des risques encourus pour ses administrés, qu'ils vivent au balcon du chantier ou un peu plus loin, avenue du Général de Gaulle, rue Buisson ou rue Médéric et bien sûr du square Wangen im Allgäu comme du foyer des arts et loisirs, très fréquentés par notre jeunesse.

Pour l'heure, nous n'avons pour réponse qu'un silence, embarrassé ?
Consolons-nous en écoutant celui de Simon and Garfunkel...











mardi 5 janvier 2016

Salive acide et sadisme : un trio d'enfer !


Zoom sur… M. Douzi

 

Tout le monde connaît Gloria, Gloria Lourenço, notre gardienne, une brunette pétillante, que l’on peut rencontrer dans sa loge au 26, avenue du Général de Gaulle, aux horaires indiqués.

Tout le monde ne semble pas connaître et saluer M. Douzi, l’homme de service, qui réalise une grande partie des travaux qu’accomplissaient autrefois M. ou Mme Paradis : remontée des poubelles jusqu’à la route, nettoyage, petites réparations…

Et pourtant, nous le croisons souvent : reconnaissez-le ! Grand, brun, le nez court et l’œil vif, il est celui qui vous sourit gentiment et s’efface aussi vite.

Dans notre cœur, M. Douzi n’est pas notre homme de service, c’est notre gardien.  

 Son travail est difficile et pourtant essentiel à notre confort.

L’hiver dernier, logé comme un miséreux dans une cave du 7, rue Médéric, il n’avait nul confort (pour toilettes, une bouteille vide, pour table de déjeuner, ses genoux). Il a fallu tempêter auprès de HDS Habitat pour changer les choses (en juin 2015, un petit local a été créé à son attention).

S’il réalise les tâches les plus dures, il mérite au minimum notre sourire, notre salut et notre reconnaissance.

Non des piques, non de la cruauté et des reproches réitérés.

Nous mettons ici l’accent sur la nécessité de la part de HDS Habitat  de prendre en compte la souffrance au travail que peut encaisser M. Douzi, quand des personnalités le harcèlent de remarques tout à fait nombrilistes et déplacées, se grisant dans un jeu sadique inattendu venant d’elles.



Merci,

 

Le collectif De Gaulle-Médéric

 

lundi 4 janvier 2016

Le petit pois qui empêche la princesse de s'endormir...

Souvent, on a l'impression de vivre dans un roman, un roman de Perec...

Résidence De Gaulle- Médéric, ou tout comme

Souvent, on a aussi l'impression d'être une langue de cornichon dans un hamburger...

Moi, étouffé entre une tranche de cheddar et une feuille de salade


Souvent, on se demande si l'on n'est pas le petit pois qui empêche la princesse de s'endormir...

Jolie mirette, hein ?


... puisque d'autres petits pois nous empêchent eux-mêmes de trouver le sommeil.
Olé !


A vrai dire, on est bien ennuyé de traiter un pareil sujet en ce début d'année : Le tapage.

Le tapage (diurne ou  nocturne) est le sujet le plus sensible, le plus délicat à aborder. Les meilleurs amis peuvent se fâcher à vie à ce propos, les fêtes des voisins peuvent tourner au pugilat dès que notre intimité, trahie par les murs, incommode les autres.

La plupart du temps, on ne se rend pas compte du dérangement créé.

Dès potron-minet, la joie est là !



Les as du bricolage, en cours d'apprentissage à 23 heures.




Il ira loin, le petit, c'est sûr. Les boules, qui est-ce ?



Vaisselle cassée, c'est la fessée...



Bref, ça peut vraiment casser les pieds, le bruit.
Ça peut même rendre malade... et certains en abusent, rien que pour énerver les autres.
si si...




Alors qu'on pourrait être simplement bienveillants



et gentils


sans être naïfs, bien sûr...
Allez, on y croit ?


Bonne année 2016 à chacun !