Collectif pour mieux vivre

Le collectif De Gaulle-Médéric rassemble les habitants de notre résidence. Né du constat qu'il ne faut pas attendre la fête des voisins pour échanger, ce blog est le relais de nos interrogations, de nos souhaits d'amélioration.

dimanche 28 février 2016

Le mystère du pipi de minuit : rebondissement !

Les accros du blog l'espéraient, le feuilleton "Le mystère du pipi de minuit" a repris le 26 février dernier.



Nous invitons les plus récents visiteurs à lire l'intrigue de la saison 1 en cliquant ici , ici aussi sans parler de!

Quand la gardienne interdisait à son collègue les toilettes de la loge, on aurait pu s'attendre à de pareilles incivilités. On aurait pu même les défendre.
Or, l'employé HDS habitat, délicat, usait d'une bouteille pour se soulager, n'ayant pas encore de local. Mais pour faire caca, vous demandez-vous ? Eh bien, il devait courir à plusieurs numéros de là, dans une résidence HDS Habitat, où l'on voulait bien qu'il fasse ses besoins.
Ça craint, pas un chouia, M. Vanoverschelde  ?

Or, les urines qui ont souillé des mois la voiture d'une locataire comme celles qui ont sali l'escalier de sortie du garage, au niveau du 7 Médéric, sont laissées par un goret noctambule de première classe, qui mériterait la coupe, si elle n'était pas trop pleine.

Contrairement au scénario vite troussé par M. Hamadi, directeur de proximité de HDS Habitat, ces urines ne sont pas une insulte à la locataire qui a vu sa voiture baptisée maintes fois, parce qu'elle était garée dans un recoin tranquille.

Ces saletés sont le fait d'un individu qui recherche un petit coin comme à la maison pour se vider le poireau.
Notons le retour de la présence de mégots, relevés conjointement non loin, ce qui rend vraiment hyper sexy le dégoûtant.

Il fume, il boit, il pisse et ce qu'il cause (comme agacement) !
ou
Elle fume, elle boit, elle pisse et ce qu'elle cause... pareil.

Bref, le Collectif a affiché des petites pancartes pour sensibiliser le forban.


Et HDS Habitat, il va faire quoi ? 

Cadeau bonus : la porte sur l'avenue du général de Gaulle bâille depuis des semaines.






lundi 22 février 2016

Un petit nid d'amour ? Investissez !

Bientôt, nous aurons plein de nouveaux voisins au 9-11, rue Médéric. 

On espère plein de choses, naïfs que nous sommes : on dirait qu'on se saluerait, qu'on se fréquenterait même, ce serait trop convivial, vraiment on pigerait peut-être enfin la quintessence de l'esprit village si typique du cœur de la Garenne-Colombes, où on peut entendre ces propos :


- Dites, Anne-So, vous pourrez me prêter votre mini râteau ? C'est insupportable, j'ai deux-trois feuilles du ginkgo de Philibert qui traînent sur le gazon... ça fait tache.
- Bien sûr, Bérénice, mais il s'appelle reviens.

Les travaux de dépollution n'ont pas débuté que la main de Dieu a déposé vendredi matin un aquarium appelé ailleurs bureau de vente.Ironiserons-nous en le surnommant le bureau de venting ?
Ah ah, trop facile, et pas du goût de tout le monde... Reprenons-nous.

Oh qu'il est beau !

Approchons-nous de plus près, oui oui on peut, c'est encore permis  :

Quel programme alléchant !

Quatre mots clefs pour une trilogie qu'elle fait rêver : INVESTIR HABITER DECORE INVESTIR.

Bon, si le pigeon ne l'a pas pigé, on va l'éclairer. 

Ce 9-11, rue Médéric est vraiment conçu pour les investisseurs qui ne comptent pas vivre sur le site de l'ancienne usine de chimie, mais plutôt loger Anne-So, Philibert et les autres... 
On est là pour faire du pognon, deux INVESTIR pour un HABITER, ça ne fait pas le poids.
D'autant plus que DECORE semble quelque peu étrange. 
Quelle intention était la vôtre Spirit ? 
DECORER,
ALLER DANS LE DECORE ou bien tout simplement  on a transformé le P en D pour éviter le PECORE, le client rêvé pour ce programme mal fagoté, ne tenant aucunement compte de la loi ?

La petite mention manuscrite du transfert de permis de construire n'en finit pas de nous flatter ironiquement l'oeil :


Ben oui, c'est pas des HLM ici enfin voyons, polluons les pigeons plutôt,
chacun son tour, comme à confesse !

Terminons par une vue sympathique du mur ouvrier de ce programme mené tambour battant, la queue devant :

Un possible mur de varappe, quand ce nouveau projet aura échoué lui aussi ?


Bientôt, une commerciale sémillante viendra user sa jeunesse contre les vitres du bureau de vente. On lui aura appris à contourner toute question relative à la dépollution, ça ne fait aucun doute, elle ne sera pas informée des données légales de notre allée Henriot, elle sera là pour faire du blé.
Nous la saluerons, nous sympathiserons peut-être même, ce sera qui sait très convivial...

Allégorie  pour finir :















dimanche 21 février 2016

Nous habitons tous un petit coin pourri

Dans la rubrique, parole de voisins, ce témoignage relatif aux infiltrations non maîtrisées par HDS Habitat, qui pourrissent la vie des gens et n'optimisent pas leur santé.


M. et Mme X vivent depuis quelques années dans un logement sympathique. La vue sur le quartier y est plaisante, ils pourraient y vivre heureux.
En emménageant, ils ont constaté que le parquet n'avait pas été refait pour l'occasion et ils ont déploré aussi que le tapissier était court en papier, puisque tout un morceau manque au-dessus d'une porte et quelques pièces ont été appliquées avec les chutes, un peu plus loin. Effet patchwork assez désolant.

La rupture de stock du papier peint ? On n'avait jamais vu ça. Mais le pire suit.
A peine un an après leur arrivée, le couple remarque des traces d'infiltration dans leur chambre à coucher.
Les faits sont signalés à HDS Habitat, qui ne résout pas l'affaire en profondeur.

Deux ans plus tard, la situation devient catastrophique. HDS Habitat, en la voix de son expert, estime que la chambre à coucher souffre de condensation. La solution est de déplacer le radiateur, surnommé pour l'occasion par ce professionnel connu pour son cynisme "grille-pain" afin d'assécher le coin.
Allez, photos pas ragoûtantes  :

Du sol...


... au plafond
Une contre-expertise privée exprime un tout autre avis : ce serait dû à une infiltration , et, en tel cas, déplacer un grille-pain du pied du lit des victimes à sa tête, ne résoudrait rien.


Un tel cas est banal et désolant. HDS Habitat ne mesure pas combien ces coins pourris gâchent la vie des locataires, qui paient des sommes élevées et sont des gens
sans histoires, 
sans conflits. 
Trop gentils. 
Asthmatiques en plus.

Il y a clairement un déséquilibre.
Les techniciens qui interviennent manquent aussi de bouteille et nous devons en tant que locataires les recevoir, espérer et constater leur incompétence parfois. D'autres techniciens, comme la gardienne, minimisent tout : rien n'est grave, rien n'est gênant, on chipote. Allez allez !

Tout cela est vraiment à mûrir, à améliorer, à arrêter.

Cadeau bonus de jour du seigneur :

Berk de berk

Une autre photo moche.
Si chacun (118 logements) osait montrer les petits coins pourris de son appartement, il y aurait de quoi vraiment faire rougir de honte le bailleur... mais on est toujours gêné de montrer un coin sale dont on ne sait quoi faire... HDS Habitat raisonne-t-il sur ces bases ?











mercredi 17 février 2016

Actualités : Oliviers, portes et repentir

Prenez gare en passant devant le 7, rue Médéric vendredi soir : les bouchons de champagne risquent de sauter à gogo, au risque de casser de nouveau leur porte de sas.

Pourquoi ces agapes, pourquoi cette fièvre ? Chut ! C'est entre nous ! La nouvelle porte du sas sera dotée très bientôt d'un code complexe, tellement difficile à retenir que chacun est invité à l'écrire dans sa paume dès jeudi soir, à le psalmodier en se brossant les dents. A l'écrire à la craie devant l'immeuble, si l'on est trop évaporé.

Adieu les aigreurs et les critiques, les mauvais esprits et le fiel  du blog, félicitations repentantes à la super équipe de HDS Habitat !


Devant tant de professionnalisme, insistons sur les dossiers qui traînent et qui chiffonnent :

- les jeunes arbres du jardin : les oliviers en pot sont vraiment traités sans soin. Trop accolés au mur mitoyen, leurs branches sont tordues, soumises à des contraintes orthopédiques sans aucun sens.  Ne pourrait-on pas les placer plutôt dans les zones spacieuses et placer plutôt les cocotiers, au tronc rectiligne et aux branches moins expansives ?

Notez les branches mortes à droite. C'est ce qui attend les ramures serrées contre le mur.

 - la porte d'entrée donnant sur l'avenue du Général de Gaulle : Les dernières pluies ont accusé son mauvais état, elle est plus rouillée qu'un vélo exposé sur le site d'Oradour-sur-Glane. Ambiance-chiens-hurlant-à-la- mort et tétanos assurés, filez faire vos rappels les amis...

Moucharabieh posé à l'automne, constellé de rouille
- la porte d'entrée, toujours elle, toujours entrouverte. Le gang des voleurs de vélos passe souvent en mars. Attraperont-ils le tétanos ? Nous ne leur souhaitons pas. Ce serait bien de la réviser, comme de penser à la changer, mais attention, par un portail digne de ce nom, qui protège le jardin, ses passants, les enfants qui y jouent. Y'en a plein les catalogues...

La porte, trop accueillante
 - les pas japonais récemment posés : nous aimerions savoir si ce montage est opportuniste, transitoire, planifié. Collectivement, nous n'aimerions pas qu'ils restent, car ils sont dangereux et inutiles.

Le chat n'en revient toujours pas


Nous reviendrons prochainement sur des cas personnels préoccupants, du genre infiltration, potin et autres petits travers de la vie dans une jeune HLM.



Allez Maxime, allez Sophie, convainquez-les un peu !




samedi 13 février 2016

Pose d'une porte farce et attrapes : Fermez-la sinon je l'ouvre !

Au 7, rue Médéric, on râlait pour une porte de sas bousillée depuis le 24 août 2015.
HDS Habitat était tancé par une poignée de locataires réclamant réparation. 
Les voilà servis : une super porte-de-la-mort-qui-tue a été installée tout récemment. 
Zoom sur ce scoop cadeau de la saint Valentin, car nos voisins, c'qu'on les aime...

L'affaire a été passionnante, M.le directeur de proximité promettant la lune aux girolles, puis aux morilles. Mais au temps des coulemelles, l'un de nous a sympathisé un matin avec un technicien qui prenait ses mesures sur la porte valide, ignorant qu'elle n'avait pas les mêmes dimensions que celle qui était brisée. 
Avait-il avalé quelques champignons hallucinogènes ?

Le lieutenant aux affaires techniques de M. Hamadi (le directeur de proximité) lors de la petite soirée kircacahuètesratios réservée à la crème de la crème des pauvres qui vivent en HLM, nous a assurés venir fissa solutionner l'affaire. 
Il y avait tant de conviction et de bonne volonté dans cet engagement que nous y avons cru et que nous avons été attendris.
Incroyable...

Mais zut ! Il y a eu un imbroglio digne du meilleur théâtre de boulevard, quand ce professionnel nous a annoncé que ladite porte ne pouvait être installée avant les champignons de Paris qui garniraient nos crêpes, les mesures n'étant pas bonnes, le fabricant étant à l'hôpital, un thermomètre dans le bec.
Intoxication aux champignons peut-être ?

On ne se doute pas comme les gens de peu vivent fort... les petits aléas de santé des fournisseurs de HDS Habitat.
Nous avons commencé le soir, plutôt que de faire du tricotin ou de jouer au rami, à visiter des sites de fournisseurs de portes. Il y en a plein, des belles portes dans le commerce, pour les résidences comme la nôtre : usinées par découpes laser, pliage et soudure de tôles acier électrozingué ou inox assurant un ensemble monobloc comprenant un dormant à ventouses électromagnétiques, avec ouvrant sur pivot composé de parements extérieur et intérieur, avec des plaques de ventouses silentbloc..


Et, comme dans toutes les bonnes séries, il y a des fins heureuses.  La semaine dernière, trois ouvriers sont venus installer une porte, mais une poooorte, une porte... montée à l'envers au niveau de la poignée, oui, une porte farce et attrapes ! Une porte, toute grise, toute belle et qui ne tient pas ouverte toute seule, aussi on est prié, avant de sortir sa marmaille en poussette, de lui ratiboiser les doigts au hachoir, sinon, ça va piailler dans le sas, quand les mères tyranniseront leurs gosses aux menottes pincées contre l'ouvrant. 
HDS Habitat pourra arguer : "Une porte qui ne tient pas ouverte toute seule, n'est-ce pas une porte sécurisée, hu hu ?".
Car il faut l'avouer : cette porte si belle, n'a ni clé, ni code : c'est free pour tout le monde ! Great !

Voilà une porte idéale :
- pour les têtes en l'air, 
- tous ceux qui perdent leurs clés, 
- qui pianotent vainement leur code de carte bleue pour entrer ainsi que 
- pour les mères perverses qui veulent estropier leurs enfants chéris,
- pour les personnes à mobilité réduite, cette porte est idéale pour aggraver tout handicap également.

Contacté, HDS Habitat apporte un éclairage confus... Apparemment, cette porte serait bientôt customisée, avec un petit boîtier  à digicode qu'on raccorderait près des boîtes aux lettres, ce programme promet d'être tragicomique, hélas.

On va pas se quitter comme ça, la porte dans la figure... Allez, fillette, chante-leur cette serinette universelle 












lundi 8 février 2016

La terre est bleue comme une orange ou coup de vent par ici



La vie rêvée des Garennois

C'est une carte postale qui fait rêver, le ciel y est bleu comme à Santorin et les gens y sont plus heureux qu'à Los Angeles. Une telle prise de vue laisse entendre que l'on a abattu les maisons et les petits immeubles du trottoir aux numéros pairs. Bah ! Qu'importe ! Vendons du rêve !
Les voitures sortent en sens inverse de l'allée Henriot, les trottoirs ont été retaillés, c'est un monde idéel que celui vendu par Spirit alias Khéops.
Un pari sur l'avenir, en quelque sorte...

Les dimensions perpétuelles de l'Allée Henriot ? Broutilles ! On est là pour vendre de l'espace immobilier, pour faire table rase du passé industriel du site.
Cadastre de notre îlot de verdure 


Mais que voyons-nous en réalité à cet endroit, aujourd'hui ?
C'est une maison bleue, accrochée à la ravine, on y vient à pied, ceux qui vivent là en auront bientôt plein le nez...  

La fameuse maison bleue accrochée à la ravine


Terminons par un SOS : un malheureux arbre récemment planté dans cette broussaille toujours foutraque n'a pas résisté au vent fort du jour.



dimanche 7 février 2016

Spirit et autres solvants : c'est dans l'air du temps

Alors que le chantier de dépollution par venting du 9-11 rue Médéric n'est pas commencé, et que Monsieur le Maire, Philippe Juvin, interroge la Préfecture des Hauts-de-Seine pour savoir le fin du fin des dangers que court le quartier depuis bientôt deux ans de mise à l'air des polluants contenus dans le sol de l'usine Chimicolor,... la nouvelle résidence apparaît sur le marché !

Nouveau programme, nouveau promoteur, nouvelle construction !
3 étages, on garde la façade industrielle, qui rappellera toujours le passé chimique du site, on refait du neuf à partir du vieux, et en voiture Simone, à nous l'accès à la propriété, tout près de toutes commodités et d'une HLM à peu près correcte, vue de loin.

Oh, que c'est beau, que c'est vendeur, que c'est idéal !


Ce programme est moins ambitieux que le loft Médéric, initialement fantasmé. Quatre étages, beaucoup plus de logements, cela impliquait un deuxième sous-sol, et ça, ce n'était sans doute pas tout à fait raisonnable, vu ce que dégorge le sous-sol par ici.

Nous rappellerons que les acquéreurs de ce programme assez sympa ont appris qu'un mur écroulé avait empêché la poursuite des travaux. Côté salades, c'était fortiche.

Bref, notre interrogation simple est : quelle mouche pique le promoteur Spirit (quel nom amusant sur un site pareil !!!) pour mettre la charrue avant les boeufs ? Et que nous tait encore le bon Dr Juvin ? N'est-il pas au fait de cette belle reconstruction d'un quartier délicat ? Il y a de beaux pavillons alentour, il faut savoir soigner son électorat...


jeudi 4 février 2016

De l'impermanence de toute chose... ou le massacre à la tronçonneuse

Naguère, les oscillations des branches de pins nous indiquaient la force du vent, berçaient notre rêverie de gens de peu, nous faisaient voyager, nous qui ne partons pas forcément.


Les branches frôlaient nos haies, apportant aux beaux jours des frondaisons apaisantes, des tapis pagailleux d'aiguilles de pins. Charmant. Des oiseaux nichaient-là, les pies se querellaient, les merles et leur bec jaune fouissaient la terre, les moineaux bouffaient autre chose que des kebabs ou des pizzas quatre fromages. Les chats rataient souvent leurs ascensions vertigineuses, nous faisant rire dans leur dégringolade, piteux fildeféristes.

Ça, c'était avant.

Maintenant, on peut installer un trampoline, étendre les bandes molletières de son aïeul ou même taillader le tronc au canif Collectif +HDS Habitat for everdans un cœur type pacemaker. Boum-bam, boum-bam.
Quel potin ! Les jardiniers ont sorti leurs tronçonneuses aujourd'hui et ils ont coupé du bois pour l'hiver.

Arbre famélique au premier plan, installé par HDS et pins ancestraux  élagués très généreusement : question verte, était-il nécessaire de les tronquer autant ?

Les artisans armés n'ont pas jeté un seul regard à l'olivier cité précédemment, dont le développement est compromis par ce positionnement mural :  à cause du cahier des charges imposé, sans doute.

Sans commentaire
 Terminons par un petit zoom sur l'arbre du futur, présent déjà dans la serre de nos sas déglingués : pas d'entretien, pas de bestioles, pas d'arrosage, pas de souci. Désolant...

Buxus plasticae, dit buis commun, art topiaire d'importation chinoise

Isn' it, Alain S. ?



mercredi 3 février 2016

Abritez-vous chez vous ce fugueur de Dr Schrödinger ?

Avis à la population !


Depuis décembre, un chat noir, de type persan chocolat-noir, mâle et pucé, aux yeux jaunes a quitté le quartier des Vallées de Colombes, passant le pont de la Puce le dos rond sans doute, une nuit peut-être.
Cet aventurier a été reconnu par plusieurs d'entre nous comme étant 
le fameux Dr Schrödinger placardé un peu partout dans la cité voisine.
Nous supposons qu'il mange une boîte par-ci par-là
Ce chat, très familier, est sans doute hébergé par l'un de nous.
Merci de nous contacter si vous le voyez onduler devant vous.




Loyers stables : pourtant, HDS Habitat ne vous fait pas une fleur

Chers voisins, chers adhérents à la CLCV,
Pour faire suite à la note  de Damien Vanoverschelde, affichée dans chaque entrée, nous informant de la non augmentation de nos loyers au 1er janvier, ne croyez surtout pas que HDS Habitat nous fait une fleur.

En effet, l'explication réside dans le fait que :

Le dernier Indice de référence des loyers (IRL) a été publié par l’INSEE le 14 janvier 2016.
Il s’agit de l’IRL du 4e trimestre 2015. Il s'établit à 
125,28 euros, soit une baisse de 0,01 % par rapport à l'IRL du 4e trimestre 2014 







lundi 1 février 2016

Et le pont japonais rouge, c'est pour demain ?

L'aire de la pelouse en plastique n'a pas fini de nous surprendre... Pour preuve, la surprise de ce jour  : une initiative très feng shui, cette dizaine de dalles posées en un arc parfait et provisoire, sur ledit gazon vert.

Oh ! que c'est zoli ces pas japonais !
Le yin et le yang vont-ils s'exprimer en harmonie, minette ? T'en dis quoi, toi, de cette idée ? En te pétrifiant, ma toute belle, bientôt, nous approcherions de cet idéal, oui, là dessous :



Sérieusement, très sérieusement, dans quelle cervelle a germé cette idée ?

Tâchons de retrouver le raisonnement de génie :

Le terrain est en pente, depuis toujours, de l'eau s'accumule dans le premier tiers de la zone cimentée. Quand HDS Habitat est devenu acquéreur de la résidence, on a fait pousser un tapis tout vert de pelouse plastifiée hyper écolo pour flatter l'œil du futur éventuel acquéreur du logement en nue-propriété.

Pour que la pelouse, on la pique pas, on a posé à chaque angle des gros cubes remplis de terre dans lesquels on a laisser végéter des essences venues du Sud, olivier et palmier.

Et comme on avait peur que les gens volent les pots, ils sont tous reliés par des fils noirs, type cordons électriques, ce qui est étrange.
Enfin...

Dès que l'eau tombe du ciel, la pelouse devient sploutch sploutch, très perméable, tandis que le petit angle qui a toujours reçu beaucoup d'eau de pluie, en reçoit encore autant.

Un réel pédiluve

La solution pour éviter le pédiluve et la pelouse gorgée de pluie, a été trouvée ! Ces pas japonais, qui ne sont pas encore fixés au sol, et qui contourneront la zone humide. Fallait y penser !

Fini ces locataires ronchons et frileux, fini la grogne du collectif, vi !


Place au feng shui, à la zénitude, qu'importe au passage que l'olivier souffre totalement dans son pot, contre le mur, c'est rien qu'un arbre, il est même pas en plastoc.

Franchement, ça fait de la peine, aussi peu de soin.

Maintenant, message au petit génie qui a eu cette idée idiote, car il n'y a pas d'autre mot :

- Que va faire toute personne qui a une poussette ? Sa vie est-elle simplifiée ?

La pelouse ou le pédiluve ? Allez, jour pair, le pédiluve, jour impair, la pelouse.

- Que va faire HDS Habitat quand les gosses qui jouent au ballon vont se fracasser la tirelire sur les dalles ?

- Question subsidiaire : dans quel tableau de dépenses va-t-on facturer cette petite installation + la mort prochaine de l'olivier étouffé contre le mur ?



Allez... suffit, on a notre cours de Qi Gong qui commence...