Collectif pour mieux vivre

Le collectif De Gaulle-Médéric rassemble les habitants de notre résidence. Né du constat qu'il ne faut pas attendre la fête des voisins pour échanger, ce blog est le relais de nos interrogations, de nos souhaits d'amélioration.

lundi 21 mars 2016

Parole de voisine / belles paroles de maire : action !


Alors que chacun apprend par voie de la mairie que ça ne rigole pas (il y a une "ferme dans la Ville "), nous vous proposons de mettre en parallèle les propos de M. Juvin, héraut de la "sécurité, condition du cadre de vie" (voir édito mars de La Garenne Infos) et ceux d'une voisine, victime de l'insécurité absolue de notre garage de résidence de Gaulle-Médéric.  


Aux directeurs de HDS Habitat
Monsieur,

Je fais suite au courriel que je vous ai adressé le 15 courant et vous confirme avoir déposé plainte auprès du Commissariat de Police de La Garenne-Colombes sous le numéro 2016/000631.

Par ailleurs, obnubilée par ces dégradations constatées sur mes essuie-glaces, à aucun moment, je n’ai imaginé que les vauriens aient pu commettre d’autres méfaits, mais j’ai fait preuve là d’une bien grande naïveté.

En effet, c’est samedi dernier,  lors de la pose par mon fils de mes nouveaux essuie-glaces, que celui-ci a remarqué des marques de plusieurs raies entrecroisées (qui étaient inexistantes auparavant) sur le capot de mon véhicule, juste en regard de l’essuie-glace de droite sur lequel « ils » ont dû faire preuve de beaucoup d’acharnement quand on voit que la tige a été complètement tordue.

Comme je le pressentais, mon fils m’a confirmé que l’essuie-glace de la vitre arrière était bien « bousillé » et que c’est le bras dans son intégralité qui sera à changer.

Vous noterez au passage, qu’étant  dans l’incapacité (mon âge, mes douleurs …) de changer moi-même les essuie-glaces, j’ai donc dû rouler « sans » pendant plusieurs jours, mais la chance cette fois était avec moi puisque la météo était au beau fixe !

Je ne vous cacherai pas que ma colère a atteint son paroxysme au constat des rayures sur le capot de mon véhicule. J’attache une attention toute particulière à l’état de celui-ci et je déteste les enfoncements, rayures et dégradations en tout genre lorsqu’ils émanent d’individus sans scrupules et, de surcroît, sur une place de stationnement louée avec l’appartement que j’occupe dans un parking fermé !

Samedi, en revenant de chez mes enfants, j’ai tournicoté dans les rues aux alentours de notre immeuble pour enfin y trouver une place pour me garer.

Est-il normal que maintenant, si je ne veux pas de nouveau me voir retirer mes essuie-glaces ou bien voir d’autres rayures sur la carrosserie de mon véhicule, ou que sais-je … des pneus crevés, des vitres brisées, des portes fracturées … (comme cela est déjà sur d’autres véhicules en stationnement dans le parking), je sois contrainte de me garer à l’extérieur, et ce  qu’il vente, qu’il neige ou qu’il pleuve ou encore que j’aie des difficultés à marcher ?

Est-il  aussi normal que, lorsque j’irai faire mon ravitaillement, je décharge mes sacs dans le parking, puis je les remonte jusqu’à mon appartement et je redescende à ma voiture pour aller enfin me garer dans la rue ?

Est-il normal que lors de mes absences pour congés, je considère la rue comme étant plus sécurisante pour mon véhicule ?

Est-il tout aussi normal que, lorsque je ramènerai mon petit-fils d’à peine 3 ans à la maison pour quelques jours, nous nous trimbalions avec tout notre barda dans les rues de la Garenne (éventuellement sous la pluie, la neige, etc…) et regagnons à pied mon domicile ?

La tolérance a ses limites.

Comme j’ai déjà eu l’occasion de vous l’écrire à propos d’autres incidents, accepteriez-vous Messieurs de HDS-Habitat une telle situation sans rechigner ? Permettez-moi d’en douter.

Vous semblez admettre difficilement que nos conditions de vie se détériorent au sein de la résidence. Mais ouvrez grand vos yeux et vos oreilles à tout ce que les uns et les autres vous rapportons en ne négligeant pas par ailleurs la lecture sans  modération du blog du Collectif De Gaulle-Médéric.

D’ailleurs, comment pourrait-il en être autrement ?

Est-ce qu’une réelle surveillance générale des bâtiments et des espaces communs est exercée au sein de notre résidence ? Les désordres apparents sont-ils constatés et vous sont-ils signalés par le personnel censé exercer cette fonction ?

N’y-a-t-il pas lieu d’être quelque peu surpris lorsqu’on apprend que la gardienne ne s’est même pas aperçue dans notre bâtiment que le mur entre l’ ascenseur et la porte du parking avait été tagué,  que les mégots et les restes de cigarettes servant à rouler leurs joints qui jonchent le sol du parking peuvent y rester ad vitam aeternam, que les murs des parkings, des sas sont constellés de traces de semelles de chaussures ? et la liste est longue, longue, longue !

Cette résidence souffre d’un manque réel de surveillance, d’attentions, de rappels à l’ordre par voie d’affichage dans les panneaux prévus à cet effet. Si on ne dit rien, si on laisse faire, il est normal que les incivilités se multiplient et s’aggravent.

Comme tous les anciens locataires, il me plaît à vous répéter que nous n’avons jamais connu de tels agissements, mais il est vrai que nos gardiens de l’époque prenaient à cœur leur mission et ne manquaient pas de parcourir la résidence en tous sens pour y faire respecter au mieux le règlement intérieur  et « ça marchait » !

Cordialement

...


Piqué dans l'édito de M. Juvin, mars 2016 



"La ville de la Garenne va se doter de moyens propres supplémentaires et adopter une attitude de tolérance zéro".

"J'ai décidé... de renforcer les effectifs de la police municipale"

"Les horaires de la police municipale ont été étendus le soir tard".

"J'ai décidé de les armer".

"Nous allons enfin adopter une démarche de tolérance zéro vis-à-vis de tout ce que l'on nomme pudiquement les "incivilités" qui pourrissent la vie de nos concitoyens".

"J'ai d'ailleurs récemment averti un bailleur social trop laxiste qu'il ne travaillerait plus à la Garenne tant qu'il ne ferait pas preuve d'un minimum de fermeté avec ses locataires qui gênent la tranquillité des autres".

"Il en va de notre qualité de vie et d'une certaine morale républicaine".





dimanche 20 mars 2016

Vol de vélos de mars : C'est reparti ! Merci à celui qui ne ferme pas la porte derrière lui.

Colère et indignation immense : de nouveau, les voleurs de vélos se sont servis cet après-midi. Un vélo neuf, arrimé par deux antivols robustes.


Nous avons en mémoire les témoignages de plusieurs voisins, victimes de vélos volés :

"Un jour, on a remarqué que notre vélo, dont on ne se servait pas tous les jours, n'était plus là. C'était à la fin de l'été. Une dizaine de cycles avaient été dérobés sous nos fenêtres." valeur : 250 euros
"Un matin de fin d'hiver, j'ai trouvé mon vélo déglingué pour avoir été trop tiré, il n'était pas réparable. L'antivol avait été plus fort que le voleur". valeur 150 euros
"Un jour de mars, je n'ai pas retrouvé mon vélo, je suis parti au travail a pied et je me suis cassé la cheville. Sans doute parce que j'étais choqué, j'étais moins attentif". valeur 250 euros + 45 jours de plâtre et trois mois sans souplesse.
"Une fin de matinée, j'ai vu deux jeunes gens s'approprier un vélo pour le voler, sous mes yeux, alors que j'appelais la police en direct. J'étais impuissante, la police m'a conseillée de rentrer chez moi, de laisser les voyous". Valeur 150 euros
"Ils ont volé le dernier vélo de mon fils". valeur 120 euros
"Nous nous sommes fait voler durant l'été nos quatre vélos, tous neufs". valeur 1000 euros
"Ils sont partis à la va-vite en laissant une tenaille maousse costaud sur place". valeur 50 euros
"Je n'ai plus de vélos depuis que je me suis fait voler mon Décathlon". valeur 280 euros
" Quand je garais mon vélo allée Henriot, je n'avais pas de problème. Depuis le jour où je l'ai placé au garage à vélos, je me le suis fait voler". Valeur 200 euros


Rupture de câble antivol cet après-midi



Car ça a recommencé, et nous pensons que ce premier témoignage sera suivi d'autres, car le garage à vélos est anormalement vidé. Veillez à vérifier la présence de vos cycles sur place.
Le mois de mars est propice à ces vols révoltants, qui plus est quand on laisse les portes ouvertes sur l'avenue. Depuis des semaines, nous prions HDS Habitat de réparer le portail, mais il préfère en repeindre l'inutile grille de floutage, qui s'est oxydée au terme de 4 mois de pose !

Tout cela est particulièrement irresponsable.

Nous pensons que HDS Habitat devrait dédommager la victime de ce vol, car il n'est plus à douter que nous sommes ponctionnés et abusés dans cette résidence de Gaulle-Médéric.

Ce portail béant permissif, symbole du manque de soin de HDS Habitat








samedi 19 mars 2016

Pourquoi il est difficile de passer du 46 au 38... ou le scandale annoncé de l'allée Henriot en images svp

Voici les plans, les beaux plans qui font rêver quelques-uns prêts à s'endetter investir dans la pierre garennoise : sur le papier, c'est aussi aguicheur que le sourire d'une publicité invitant à passer du 46 au 38.
Si vous n'êtes pas passés par la boutique Spirit, voici une flopée d'images prémonitoires :

Cette image est intéressante pour les deux voitures qui y sont figurées.


Ici, notez bien que ce qui est en blanc, c'est le domaine du 5, rue Médéric. et tout au fond, l'entrée du 7,
avec les 2 appartements du rdc. Notez déjà l'étranglement de la voie Henriot par là-bas,
juste avant notre entrée de garage.


Retour sur cette vue : on notera au passage que le 7 bis, rue Médéric, figuré derrière la petite murette blanche
aura un vis-à-vis direct avec l'entrée/sortie de garage de la résidence Spirit...
Bonjour les gaz d'échappement, les coups de klaxon et autres joyeusetés...




Mais le pire de ce projet est à cet angle : le maquettiste, pas fou, a préfiguré, avec des petites autos qui ne sont pas l'apanage des Garennois, ce qui va inévitablement survenir et se répéter.

Scénario 1 : Sophie rentre chez elle, les courses sont faites, elle a mal aux pieds, sa fille à l'arrière crie comme un putois parce qu'elle a faim. Sa voiture est bien engagée.
Faut rentrer dans son HLM, tout de même !
Scénario 1 bis : Sophia rentre chez elle, les courses sont faites, elle a mal aux pieds, sa fille à l'arrière crie comme un putois parce qu'elle a soif. Sa voiture est bien engagée.
Faut rentrer dans son Spirit, tout de même !

De l'autre côté, Thierry remonte la pente un peu vite, vu qu'il devrait à cette heure-ci être coincé dans le périph'.





Bing ! Fauffarde ! Mes dents ! Espèce de dingue !
Ouiiiiinnnnn ! Pinpon Pinpon !



"Encore un accident ! Chérie, ici, on ne s'ennuie jamais, 

toi qui fantasme sur les pompiers, tu es servie  ! 

Regarde le gros rouquin ! L'a de l'allure, hein ? 

C'est pas un nouveau ?"


"On a bien fait de garer notre 4x4 sur la chaussée, non ? 

"Ça aurait pu nous arriver 3 fois par jour!"


INFO ESSENTIELLE : Le trottoir  de 1m26 initialement prévu dans le plan de masse pour les accès aux immeubles du 7 et 7 bis rue Médéric n’existe plus.
Le trottoir de la résidence Spirit n'est pas spécifié sur son plan de masse, ce qui va réduire considérablement la voie d'accès à notre parking sous-sol et la largeur pour que deux véhicules se croisent...

samedi 12 mars 2016

Marquer son territoire : le jet ou le tag

Après l'urine dans la cage d'escalier, nous avons droit au tag, dont la colorisation devrait suivre dans les nuits à venir.
Sans doute notre gardienne trouvera ça artistique et encouragera les artistes à poursuivre.
Sans doute HDS Habitat fermera les yeux, on commence à y être habitués.

Le portail de l'entrée est toujours cassé,
Les pas chinois risquent toujours de blesser des enfants qui jouent dehors.

Tout va donc très bien.



mardi 8 mars 2016

Paupérisation de notre cadre de vie : exemples concrets et insupportables

Le Collectif de Gaulle Médéric a été créé à l'initiative de locataires souhaitant améliorer le cadre de vie de chacun, même si ça doit gratter là où ça fait mal, côté bailleur.


Depuis plusieurs mois d'existence, nous avons plusieurs dossiers au long cours très sérieux, dont celui de l'étanchéité douteuse de nos appartements.

La petite Claire se réveille les pieds dans l'eau, plusieurs articles y ont été consacrés. Combien d'interventions ?

Les salles de douche de plusieurs logements souffrent toutes, en dépit d'une VMC valide, de condensation et de pourrissement des sanitaires. Combien d'interventions ? 

Les murs de certains logements sont tout aussi insalubres. Combien d'interventions ?

Ainsi avons-nous cité le cas d'un couple de voisins, qui, la nuit ne peut rêver que d'acariens et de bestioles peu ragoûtantes, dont certaines ont la tête des techniciens qui se sont cassé le nez contre le mur malade.
Les interventions de HDS Habitat sont totalement vaines. Pire, les locataires ont le sentiment d'être abandonnés à leur condition, visiblement, il n'y a pas de solution de rafistolage qui tienne.

Car le rafistolage est une spécialité des McGyver de HDS Habitat. Très peu de techniciens sont bien formés et encore moins ont une ancienneté qui leur donnerait cette bouteille indispensable à une bonne expertise.
Rafistolage : le mot vous semble fort ? 
Il ne l'est pourtant pas. 
Regardez autour de vous un peu :
- au garage, le panneau attention sol glissant est une customisation mal ficelée, qui , comme disent les jeunes, fait tiep'.
- dans le jardin, les pas de jardin sont un moyen de fortune pour lutter contre la descente accentuée du sol par les eaux de pluie. Inutile et dangereux.
- le grillage occultant qui recouvre la porte d'entrée qui ne ferme plus depuis longtemps maintenant, n'est en rien occultant, et à peine quatre mois après avoir été posé, il rouille.
...

Nous payons des loyers importants, nous avons des charges opaques dans leurs détails, et nous devons subir ce manque de professionnalisme et d'investissement. Ce n'est plus supportable.

Les nus-propriétaires devraient nous lire : ils ont fait une sale affaire en acquérant les appartements que nous habitons : se doutent-ils de l'état des murs, des fissures qui lézardent les plafonds, des charges qui leur incomberont car la stratégie de notre bailleur semble être celle de l'attentisme.

Qu'il nous contredise par des actes si nous avons tort !


Allez, quelques images frappantes : du sol au plafond, chez ce locataire pré-cité, que de désagréments...

Côté sol :
Ça pourrait être réparé, mais ça pourrit.

Quelles nuits peut-on passer ici ?

M. Hamadi  ou M. Vanoverschelde veulent-il incarner Antoine de Maximy et venir dormir chez nous ? Welcome !

Côté plafond :
Le papier se décolle, c'est la pécole ! Hem !

Exemple effarant de pose de papier peint, la mode du patchwork est lancée : misère !
Ah ben, y'avait plus de papier, alors y'en a pas !!!! Quelle honte tout de même !

Il semble évident, après ce diaporama, que HDS, s'il était un être humain, devrait tout de suite se gratter le cou, un peu embarrassé, respirer un grand coup puis prendre son téléphone et s'engager à abandonner les ratios de papier peint pour incarner un partenaire fiable et honnête dans ses engagements solidaires et sociaux : déontologique, isn'it ?

A méditer...




dimanche 6 mars 2016

Paroles de voisins : ça déborde !

Une fois encore, ce blog se fait le relais d'un mécontentement, après que les faits aient été bien pesés.
Plutôt que de s'amuser à en faire un petit texte enlevé, voici copie du courrier envoyé à Hauts de Seine Habitat.

Nous sommes surpris de voir aussi peu de moyens mis en oeuvre pour résoudre toutes les questions relatives aux infiltrations et autres fuites d'eau : HDS Habitat manquerait-il de professionnels ou ne mettrait-il pas tous les moyens pécuniaires nécessaires pour réparer de pareilles situations ?




"Monsieur,
Messieurs les responsables de Hauts-de-Seine Habitat,

Ce n'est pas la première fois que nous intervenons sur cette affaire et aimerions qu'une issues soit très vite trouvée.

En effet, vous êtes venus constater, suite à des inondations répétées et importantes par temps de pluie, les dégâts importants causés à l'intérieur de l'une des chambres de notre appartement, affectant également un peu une autre chambre entre l'automne dernier et janvier 2016.


Des travaux ont été effectués en extérieur, fin 2015, qui ont permis apparemment de résorber le problème. Il ne restait plus qu'à faire faire enfin des travaux en intérieur pour lesquels vous avez daigné vous déplacer suite à une demande très insistante de notre part. Vous avez arrêté lors de votre dernière visite, il y a presque deux mois, le fait que des travaux allaient être faits. A ce jour, nous attendons toujours une intervention.

Cependant, finalement, l'attente importante, le silence assourdissant de vos services, nous ont permis de constater, entre temps, qu'il y a un autre problème et que les inondations se poursuivent, comme vous pourrez le constater sur les photos prises samedi 5 mars 2016 au matin dans la chambre de notre fille cadette.







En effet, il semblerait que ce soit tout l'encadrement en bois, et notamment la partie basse qui est complètement pourrie car plus étanche.

Vous l'aurez compris, il y a urgence, car nous ne sommes à nouveau plus à l'abri des intempéries de ce type chez nous, que les moisissures se dégradent à l'intérieur et que cette situation n'est plus supportable pour notre fille qui en subi les conséquences en matière d'allergie notamment.




Nous vous demandons de venir au plus vite constater les problèmes et faire faire des travaux dans la foulée, en ayant pris soin de nous contacter au préalable pour que nous convenions d'un rendez-vous puis de jours de travaux.

Nous le répétons, cette sollicitation ne souffrira pas d'attente plus longue sans quoi nous serions en droit de porter plainte dans le cadre d'une procédure beaucoup plus énergique.

Bien entendu, ces photos, en pièces jointes, paraîtront sur le blog du Collectif Médéric-de Gaulle déjà très actif sur bien d'autres questions liées à la gestion lamentable de notre résidence depuis que vous en avez l'usufruit. D'ailleurs, nous nous réservons la possibilité de contacter la copropriété des nus propriétaires, qui, nous en sommes certains, n'apprécieraient pas le mauvais entretien de bâtiments et la passivité de vos services.

Certains que vous saurez comprendre cette fois notre extrême préoccupation et notre détermination, nous restons dans l'attente de votre diligente intervention et de la traduction concrète de celle-ci.

Bien cordialement,"

Trois autres points : 

1/ Nous avons été apostrophés cette semaine une seconde fois pour témoigner de dommages matériels causés dans le garage sur un véhicule. Les victimes ont préféré ne pas communiquer via le blog cependant.

ou tout comme...



2/ Nous prions HDS Habitat de retirer les dalles qui risquent de blesser les enfants dans le jardin autant qu'elles réduisent leur aire de jeux, déjà rétrécie par le garage à vélos.Ou bien nous nous unirons pour qu'ils puissent jouer dans l'herbe, la vraie.

Nous n'en voulons plus !

3/ Par ailleurs au terme de 3 mois d'attente, le Collectif de Gaulle-Médéric devrait enfin être doté dans chacun des bâtiments de la résidence d'un tableau d'affichage. Chacun pourra donc suivre, au quotidien, lorsqu'il relève son courrier, les infos essentielles du Collectif.



Vous noterez enfin une radicalisation de forme, sur ce blog. 
Probablement parce que nous n'avons même plus envie de sourire devant tant de manquements.